L.A.S. «E. Boudin», Paris 31 mai 1885, à SON FRÈRE Louis BOUDIN; 1 page et quart in-8.
Il envoie un mandat pour le mois d'Onésime. «J'ai eu des nouvelles de toi par l'ami Martin qui avait eu ta visite, au courant de ce mois. Aujourd'hui tout Paris est en ébulition pour les obsèques de V. HUGO: c'est assez lugubre de voir tout ce mouvement de curiosité pour une cérémonie mortuaire»... Il s'inquiète pour la tombe de leur mère: «Il me semble qu'on pourrait sans attendre le bouleversement du lieu, prendre les devants et faire exhumer ses restes et déplacer la tombe si nous en avons le droit».
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