Vedette de la vente, une grande composition d'Alexandre Roubtzoff Avenue Jules Ferry, population cosmopolite de Tunis de 1918 (150 000/200 000 €) partage les cimaises avec un Couple dans la palmeraie d'Étienne Dinet (60 000/80 000 €), un Rivage turc sur sa toile d'origine de Paul-Émile Gigoux (8 000/10 000 €), deux compositions de Fatma Baya dont une à la guitare (15 000/20 000 €). En vitrines, on a distingué un lion brûle-parfum en bronze du Khorassan (XI e -XII e siècle, 6 000/8 000 €), un coran d'époque safavide (1706, 20 000/30 000 €), un autre signé Muhamad Ali Ashraf daté 1744 (30 000/40 000 €), un pot couvert ottoman en métal émaillé (Istanbul, XIX e , 6 000/8 000 €). Sans oublier un manuscrit persan de Murshid al-Katib al-Shirazi Le Verger et la Roseraie (30 000/40 000 €), une bouche de ceinture moghole en or émaillé vers 1800 (6 000/8 000 €), quelques armes, une collection de verres romains et islamiques, une autre de céramiques tunisiennes, l'intérieur d'une propriété libanaise et des objets et traités scientifiques.
Articles avant-vente
Alexandre Roubtzoff : Tunis au grand angle
Cette toile est l’une des plus trois plus grandes
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