Inoubliable Bourgeois gentilhomme, l’acteur et metteur en scène revient à l’Opéra-Comique avec la comédie-ballet de Molière jusqu’au 8 octobre.
Êtes-vous plutôt peinture, objet, photo… ?
La peinture, j’en ai été environné petit : de Dufy, Carzou à Utrillo, mon grand-père en était grand amateur. Et puis j’ai eu la chance de rencontrer Miquel Barceló, dont la vision du monde est fascinante…
Votre dernier coup de cœur culturel ?
Edvard Münch et sa façon désespérante de peindre l’amour.
Une œuvre que vous aimeriez posséder ?
La Nature morte aux oranges de Matisse pour sa lumière et son énergie, un enchantement.
L’artiste qui vous touche ?
Miquel Barceló, avec sa fausse désinvolture, son audace, l’originalité de sa démarche…
Tendance FIAC ou Biennale Paris ?
Ma première tendance serait d’aller à la FIAC, pour l’émergence des jeunes artistes
Existe-t-il un fil conducteur dans vos acquisitions ?
Je me fie à mon intuition et à celle d’un certain Félix, mon fils.