Juan Gris (1887-1940)

Ce tableau affichait toutes les qualités du maître cubiste et une provenance remarquable, celle de Léonce Rosenberg.

Dans cette nature morte, peinte en 1916 en plein conflit mondial, se lisent les nouvelles orientations prises alors par le cubiste Juan Gris. Son marchand et confident Léonce Rosenberg, auquel elle a appartenu, a joué un rôle fondamental dans son travail.

Installée définitivement à Paris en 1916, l’Espagnole María Blanchard s’impose au sein de l’école de Paris par une esthétique cubiste très personnelle qui force l’admiration de son ami Juan Gris et de son marchand Léonce Rosenberg.

Ce solitaire en or gris est serti d’un diamant d’un poids de 3 ct, de couleur H pour une pureté SI1.

C’est en 1984 qu’est né le sac Birkin, devenu depuis – avec le Kelly – une icône d’Hermès. Plus récent puisque fabriqué en 1999, celui-ci changeait de garde-robe contre 29 900 €, le vendredi 24 juin chez Delon - Hoebanx (M. Lalande). Un prix qui se justifie...

Souvent qualifié de raphaélesque, Juan de Juanes s’est inspiré du génie de la Renaissance italienne, porté par une solide foi catholique qui fait de lui principalement un peintre de scènes religieuses. 

Attaché aux grands formats, le peintre russe livre ici une composition en dégradé de noir, de blanc et de gris, où se reconnaît son expression gestuelle.

Le paysage et le cadre architectural de cette scène du deuxième livre de Samuel sont typiques de l’œuvre de Juan De La Corte (1585-1662). Le peintre d’origine flamande est connu pour animer ses compositions d’arrière-plans architecturaux, souvent tirés...

Ce peintre à la vie énigmatique a laissé une œuvre modeste, mais qui se distingue par la singularité de ses sujets.

Au cœur d’une belle dispersion de bijoux anciens et modernes orchestrée par Arcadia - Frédéric Delobeau OVV (Mme Salanne) à Amiens le samedi 16 novembre, une bague solitaire, à monture en or gris, jetait tous ses feux. Ceux d’un diamant de taille brillant...