Adam Weisweiler (1744-1820)

Qui a dit que le mobilier n’avait plus la cote ? Ce secrétaire en cabinet estampillé Adam Weisweiler pourrait être le plus disputé d’une vente classique.

Apparue sous Louis XIV, la table de brelan devient circulaire vers 1770. Celle-ci, attribuée à Adam Weisweiler, rappelle l’importance des jeux durant l’Ancien Régime.

Attribuée à Adam Weisweiler, une table à jeu de brelan déposait ses atouts avec subtilité.

Adam Weisweiler, Arent Arentz et Jean-Baptiste Isabey étaient les noms à retenir de cette vacation classique, qui offrait quelques beaux résultats.

Qui a dit que le mobilier n’avait plus la cote ? Un secrétaire en cabinet estampillé Adam Weisweiler, annoncé par la Gazette comme la vedette de la vente du 24 mai par Daguerre, vient de remporter 65 000 €. Il peut être rapproché d'un modèle livré à la duchesse de Polignac en 1789.

L’esprit du XVIIIe siècle et l’élégance du mobilier qui le caractérise ont encore frappé, en honorant une paire de buffets (l’un reproduit) demi-lune de style Louis XVI d’un résultat de 13 650 €, pulvérisant ainsi sa modeste estimation. La riche ornementation...

Ce précieux bonheur-du-jour est un bel exemple de l’évolution des styles, à la fin du règne de Louis XVI, et de la maîtrise des formes alors atteinte par son créateur.

Du grand ébéniste parisien, un meuble aux lignes fragiles faisait des envieux lors d’une vacation à Chinon, accompagné d’un opulent bouquet de Redouté et d’un panneau en scagliola.

Parmi les pépites rassemblées par cet illustre expert de peinture ancienne, incontournable dans le Paris des années 1970, des œuvres des XVIIe et XVIIIe siècles créaient la surprise.

Des générations d’enfants ont appris qu’Ève serait née de la côte d’Adam. Ce n’est pas ce que montre Jean Jacques François Le Barbier, dit Le Barbier l’Aîné (1738-1826), dans cette toile portée à 52 000 € – ce qui l’inscrit à la septième place dans le...