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Vol de Picasso et Miró, le marché de l'art aux bas-fonds

Publié le , par Vincent Noce
Les audiences ont perdu de leur solennité dans les salles aveugles de la boîte déshumanisée qui sert désormais de palais de justice à Paris. Les faits divers en ressortent encore plus pitoyables, même quand le tribunal accueille du beau linge. Du 5 au 7 octobre, la galerie Belle et Belle ainsi que ses propriétaires, Anne...
  Vol de Picasso et Miró, le marché de l'art aux bas-fonds
 
Les audiences ont perdu de leur solennité dans les salles aveugles de la boîte déshumanisée qui sert désormais de palais de justice à Paris. Les faits divers en ressortent encore plus pitoyables, même quand le tribunal accueille du beau linge. Du 5  au 7  octobre, la galerie Belle et Belle ainsi que ses propriétaires, Anne et Herbert Pfeffer, ont dû répondre de l’accusation de recel de biens volés. La longue enquête de la Brigade de répression du banditisme (BRB) a été enclenchée quand la fille de Jacqueline Picasso et celle d’Aimé Maeght se sont aperçues du vol de centaines d’œuvres graphiques de leur domicile…
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