À Compiègne, une exposition rend hommage aux bolides et à ceux qui, depuis le XVIIIe siècle, ont cherché à repousser les limites de la vitesse. Tout en en magnifiant l’esthétique.
La quête de la vitesse est consubstantielle à l’homme. Elle n’est pas que cette chose répréhensible mais liée à un élan de bonheur. » À la tête du château de Compiègne, Rodolphe Rapetti veut une exposition enjouée pour dépasser cette morne période. Dans l’espoir de voir un jour le ministère de la Culture arbitrer en faveur de son projet de réhabilitation (plus que nécessaire) du musée national de la Voiture abrité dans le palais, il poursuit la mise en valeur de sa collection aussi riche qu’insoupçonnée. Du char romain d’Henry d’Allemagne,…
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