Vente le
13 octobre 2021 - 11:00 (CEST) -
Salle 5 - Hôtel Drouot - 75009
Incrustée de nacre mettant en lumière un décor de chinoiseries, cette boîte est une rareté du milieu du XVIIIe siècle, digne des plus belles collections.
Paris, 1757. Boîte en or jaune, gravé et ciselé de volutes et d’agrafes coquille, à décor incrusté toutes faces de nacre et de burgau figurant des scènes d’extérieur animées de personnages dans le goût chinois et de guirlandes de fleurs, maître orfèvre non identifié, 7,4 x 5,8 x 4 cm, poids brut 257,2 g, dans un écrin rapporté monogrammé. Estimation : 60 000/100 000 €
Paris, 1757. Boîte en or jaune, gravé et ciselé de volutes et d’agrafes coquille, à décor incrusté toutes faces de nacre et de burgau figurant des scènes d’extérieur animées de personnages dans le goût chinois et de guirlandes de fleurs, maître orfèvre non identifié, 7,4 x 5,8 x 4 cm, poids brut 257,2 g, dans un écrin rapporté monogrammé. Estimation : 60 000/100 000 €
Passer la boîte d’une main à l’autre, la tapoter, l’ouvrir et la présenter à l’assistance… Tout un cérémonial, qualifié de «noble exercice de la tabatière», est requis par les codes de la bonne société du XVIII e siècle avant d’être autorisé à prendre une prise. Ce geste doit naturellement se faire avec distinction, et sans grimacer au moment de respirer le tabac râpé ! À l’époque de…
Nous utilisons des cookies pour vous offrir une meilleure expérience de navigation, réaliser des analyses de trafic du site et de vous proposer des contenus et des annonces les plus adaptés à vos centres d’intérêts.