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Une Biennale Paris entre deux eaux

Publié le , par Alexandre Crochet

Malgré des pépites nombreuses et des ventes honorables, l’édition 2017 restera comme une Biennale de transition, ne brillant guère en peinture ancienne ou moderne.

Vue du stand de la galerie Steinitz à la Biennale Paris 2017. © Didier Plowy Une Biennale Paris entre deux eaux
Vue du stand de la galerie Steinitz à la Biennale Paris 2017.
© Didier Plowy
La première édition annuelle de la Biennale des Antiquaires, rebaptisée Biennale Paris, a survécu aux flèches et aux plumes assassines. Certains la dirent moribonde, d’autres glissaient, perfides : «Vous avez vu de grandes galeries à la Biennale, vous ?», mais étaient ravis d’assister au dîner de gala, des antiquaires dressaient une liste de doléances longue comme le bras, mais à condition qu’on ne cite pas leur nom de peur de ne pas être repris l’an prochain en tant qu’exposant… Bref, même si elle essuie une volée de bois…
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