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Un « off » avec des hauts et quelques bas

Publié le , par Pierre Naquin et Sibylle Aoudjhane

Un large spectre de foires satellites gravite autour d’Art Basel Miami Beach. Mais toutes n’ont pas le même poids dans la galaxie.

Mona Ardeleanu (née en 1984), Pliss 2019: IX (2019), huile sur toile. Courtesy Galerie... Un « off » avec des hauts  et quelques bas
Mona Ardeleanu (née en 1984), Pliss 2019: IX (2019), huile sur toile.
Courtesy Galerie Thomas Fuchs
Art Basel Miami Beach, c’est un «in», mais aussi un «off». Des dizaines de foires satellites, plus dynamiques que jamais cette année, dit-on. Une offre «accessible, éclectique et vivante», selon Piero Spadaro, présent sur la plage Scope pour la galerie Hang Art (San Francisco). Certaines de ces foires ne sont plus si satellites que ça. Presque aussi incontournable qu’ABMB, NADA (New Art Dealer Alliance, l’un des grands syndicats internationaux de galeries) en est à sa 17 e   édition à Miami. Un cru particulièrement réussi, selon les marchands. «C’était une très belle année. Je dois admettre que la qualité générale des propositions sur la foire était top. Le buzz était au rendez-vous et le public prenait vraiment le temps d’étudier les œuvres présentées», s’enthousiasme Kourosh Nouri, de Carbon 12 (Dubaï). «Jusqu’à présent, c’est probablement l’une des meilleures NADA pour nous, pas nécessairement commercialement, mais surtout du point de vue de la visibilité.» Où sont les ventes ? Bonne visibilité, public dynamique… ces termes reviennent souvent dans la bouche des galeristes. Mais concernant leurs…
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