La foire prend ses marques outre-Atlantique. À raison de deux éditions par an, le public adopte cette nouvelle venue européenne. Quel bilan pour une 5e édition marquée par un froid glacial sur Park Avenue ?
Il était dit que construire une marque ne serait pas chose aisée. Les organisateurs des versions new-yorkaises de la Tefaf l’apprennent par l’expérience. Déjà cinq éditions en deux ans pour les Européens et la première sans l’aide opérationnelle des équipes d’Artvest. Avant même le début des festivités, les organisateurs et les exposants avaient mis toutes les chances de leur côté pour faire de cette édition 2018 un beau succès : objets magnifiques sur tous les stands, scénographie toujours aussi élégante, sans oublier les huîtres et le champagne. Le vetting , symbole de l’exigence et de la qualité des salons Tefaf, impressionnait les visiteurs. «Certains de mes clients, ici, n’avaient jamais acheté d’antiquités chinoises auparavant. La très haute exigence du vetting de la Tefaf étant internationalement reconnue, ces acheteurs se…
com.dsi.gazette.Article : 3338
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