Au Petit Palais, la rétrospective consacrée au célèbre portraitiste mondain dévoile certains aspects moins connus de son œuvre, au tournant du XXe siècle.
Parisien jusqu’au bout du pinceau, Giovanni Boldini (1842-1931) a logiquement les honneurs d’une rétrospective – la première en France depuis plus de soixante ans – au Petit Palais, fleuron architectural de la Belle Époque que le peintre italien a brillamment incarné sur la toile. Avec un sous-titre emprunté à Marcel Proust, l’exposition renvoie implicitement à celle que consacre le musée Carnavalet à l’écrivain (voir Gazette n° 6) : même société parisienne, aristocratique et bourgeoise, que l’un et l’autre observèrent à peu près à la même période. Les commissaires…
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