Pourquoi l’art et les ports francs font-ils bon ménage ?
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par
La Gazette Drouot
Un développement international sans précédent permet aux ports francs de devenir des acteurs majeurs du marché de l’art.
Tout dernier port franc à ouvrir ses portes, celui de New York est géré par la société Arcis et dispose de 10 200 m2 d’entrepôts dédiés aux œuvres d’art et objets de collection.
Tout dernier port franc à ouvrir ses portes, celui de New York est géré par la société Arcis et dispose de 10 200 m2 d’entrepôts dédiés aux œuvres d’art et objets de collection.
De nos jours, les ports francs s’inscrivent non seulement dans une logique de stockage d’œuvres d’art et d’objets de collection mais également dans une logique transactionnelle et de gestion de patrimoine, au profit d’investisseurs et de collectionneurs. Force est de constater que le développement international de ces structures ne fait que se confirmer voire s’accentuer. Mais quel rôle jouent-ils réellement et comment se sont-ils adaptés afin de répondre à une demande toujours grandissante ? Du provisoire au long terme Les ports francs sont des entrepôts généralement situés dans les environs d’un port maritime ou d’un aéroport. Ils jouent depuis longtemps un rôle central au sein de l’économie mondiale en facilitant le commerce international et en assurant le stockage temporaire de marchandises en transit, provenant de sociétés ou de personnes physiques qui en ont la propriété. Étant situés en zone franche, ils sont soumis à la législation douanière et toute marchandise qui y est déposée bénéficie d’une fiscalité particulière. Leur usage a toutefois évolué.…
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