Vente le
15 juin 2018 - 14:00 (CEST) -
Salle 5-6 - Hôtel Drouot - 75009
Géricault aimait les chevaux, tous les chevaux… Sa vie d’artiste a été menée à bride abattue. À peine douze ans séparent les portraits équestres des héros de l’empire de ses dernières œuvres.
Théodore Géricault (1791-1824), Garçon donnant l’avoine à un cheval dételé, huile sur toile, 45,2 x 36,1 cm. Estimation : 120 000/150 000 €.
Théodore Géricault (1791-1824), Garçon donnant l’avoine à un cheval dételé, huile sur toile, 45,2 x 36,1 cm. Estimation : 120 000/150 000 €.
Les chevaux sont les acteurs les plus intelligents et les plus merveilleux», disait Théodore Géricault (1791-1824). «Acteurs» aurait pu être remplacé par «modèles». L’artiste en herbe pouvait les admirer dans les propriétés familiales en Normandie et, élève de Guérin aux Beaux-Arts, se rendait souvent aux écuries impériales à Versailles. Au Salon de 1812, il envoie l’ Officier de chasseurs…
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