Figure familière de la scène française alternant théâtre, cinéma et télévision, il est actuellement sur les planches avec la comédie Le Mensonge et sera, en 2017, à l’affiche du Cas Sneijder.
Êtes-vous peinture, objet, photo… ? Peinture. Mon père était peintre et je me suis baladé dans ses toiles depuis la petite enfance.
Votre dernier coup de cœur culturel ? L’extraordinaire mise en valeur de Bordeaux. La ville est devenue une splendeur et c’est sans doute le lieu où je pourrais vivre, si je quittais Paris.
Une œuvre que vous aimeriez posséder ? N’importe quel tableau de Balthus. C’est un génie.
L’artiste qui vous touche ? Mon fils (Frédéric, ndlr), qui a embrassé le métier de son grand-père et que je regarde évoluer entre solitude et fulgurance.
Tendance FIAC ou Biennale des antiquaires ? Aucune des deux. Plutôt les galeries – petites ou grandes – où l’on peut découvrir encore des artistes de talents et hors modes !
Existe-t-il un fil conducteur dans vos acquisitions ? Aucun. Le seul fil conducteur est mon désir.
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