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Paris Tableau Brussels : L’art ancien en figures libres

Publié le , par Anne Doridou-Heim

Paris Tableau n’est plus, vive Paris Tableau Brussels ! Cette 6e édition sonne comme une première et invite à chausser ses patins pour glisser sur le plancher de la Patinoire royale.

Juriaen Jacobsz (1624-1685), Félicité familiale, huile sur toile, 151 x 113 cm. Courtesy... Paris Tableau Brussels : L’art ancien en figures libres
Juriaen Jacobsz (1624-1685), Félicité familiale, huile sur toile, 151 x 113 cm.
Courtesy galerie Jan Muller, Gand.
En 2016, Paris Tableau, fondée en 2011 par des marchands spécialisés en peinture ancienne, avait décidé de quitter les salons feutrés du palais Brongniart pour répondre favorablement à l’invitation de la Biennale des antiquaires. Nouvelle année, nouveau challenge : en 2017, la manifestation fait le choix de l’internationalisation, l’accord passé avec le Syndicat des antiquaires n’interdisant pas que le salon puisse s’exporter, et pour sa première extra-hexagonale se pose à Bruxelles. «Il était essentiel de montrer que Paris Tableau existe toujours et quelle plus belle réponse qu’être présent au cœur de la capitale de l’Europe !», revendique Bertrand Gautier, l’un des cofondateurs. Maurizio Canesso renchérit, constatant que «dans plusieurs capitales européennes, il y a des noyaux de collectionneurs de tableaux anciens. Bruxelles est de celles-là». Un nouvel atout pour la cité, décidément au cœur de l’actualité du marché de l’art avec la Brafa, mais aussi Art Brussels. D’autant que pour renforcer les synergies, les dates de cette nouvelle proposition coïncident avec celles de la deuxième édition de Cultures, regroupant AAB (Asie), BAAF…
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