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Paris Gallery Weekend : tisser du lien

Publié le , par Céline Piettre

À l’aube de sa 5e édition, la jeune manifestation initiée par Marion Papillon semble plus que jamais prête à se concentrer sur l’essentiel : restaurer l’attractivité des galeries parisiennes, en s’appuyant sur une communauté solidaire.

Stéphane Calais (né en 1967), Sans titre, 2017, encre, acrylique et glycérophtalique... Paris Gallery Weekend : tisser du lien
Stéphane Calais (né en 1967), Sans titre, 2017, encre, acrylique et glycérophtalique sur papier Fabriano teint dans la masse (détail). Galerie Papillon.
Photo Marc Domage
Depuis son lancement en 2014, le Paris Gallery Weekend (PGW) a testé plusieurs formules  avec l’abandon notamment de son exposition collective, et le choix d’un nom plus évocateur , mais n’a jamais changé de cap. Ramener les collectionneurs et le public dans le giron des galeries désertées au profit des foires, en proposant un rendez-vous à la fois exclusif  un dîner inaugural dans les salons de l’Hôtel de Ville  et convivial, où l’on peut rencontrer les artistes et, depuis 2017, écouter le programme des «talks» au Centre Pompidou : tel est  et demeure  son objectif principal. Un dessein qu’il partage d’ailleurs avec tous ses petits camarades de par le monde, de Bruxelles à Pékin. À l’heure où le dernier rapport UBS-Art Basel note une baisse…
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