À l’aube de sa 5e édition, la jeune manifestation initiée par Marion Papillon semble plus que jamais prête à se concentrer sur l’essentiel : restaurer l’attractivité des galeries parisiennes, en s’appuyant sur une communauté solidaire.
Depuis son lancement en 2014, le Paris Gallery Weekend (PGW) a testé plusieurs formules avec l’abandon notamment de son exposition collective, et le choix d’un nom plus évocateur , mais n’a jamais changé de cap. Ramener les collectionneurs et le public dans le giron des galeries désertées au profit des foires, en proposant un rendez-vous à la fois exclusif un dîner inaugural dans les salons de l’Hôtel de Ville et convivial, où l’on peut rencontrer les artistes et, depuis 2017, écouter le programme des «talks» au Centre Pompidou : tel est et demeure son objectif principal. Un dessein qu’il partage d’ailleurs avec tous ses petits camarades de par le monde, de Bruxelles à Pékin. À l’heure où le dernier rapport UBS-Art Basel note une baisse…
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