Cent vingt-huit galeries participent durant quatre jours à la 8 édition de Paris Gallery Weekend. Une mobilisation inédite qui plus que jamais, prouve la vitalité de la scène parisienne et affiche la volonté des marchands de sortir de la crise.
Cette édition ne ressemblera à aucune autre. Mais le moins que l’on puisse dire est qu’elle aura suscité l’enthousiasme : 128 galeries d’art contemporain et moderne se sont mobilisées, pour une manifestation qui, d’habitude, en réunit une cinquantaine. Revers de la médaille : «Nous avons dû revoir ce Paris Gallery Weekend dans la sobriété, pour nous adapter au contexte», explique Géraldine de Spéville, sa déléguée générale. Comment ? En oubliant temporairement l’aspect festif et international qui le caractérisait. Les rencontres avec les artistes, les performances, les conférences, les parcours VIP pour collectionneurs triés sur le volet et a fortiori le dîner de gala… aucun de ces événements ne pourra se dérouler, même si certains marchands organiseront néanmoins quelques vernissages, signatures ou lectures, dans le respect de la jauge des 8 mètres carrés par personne, flacon de gel hydroalcoolique à portée de main. Pour compenser l’absence de visites guidées, les organisateurs ont eu la bonne idée d’inviter des personnalités du milieu artistique…
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