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Olivier Waltman, le marché de l’art en partage

Publié le , par Stéphanie Pioda

S’il vient tout juste de mettre en sommeil sa galerie londonienne pour cause de Brexit, le galeriste parisien casse les codes en ouvrant en décembre dernier un nouvel espace à Miami, partagé avec sa consœur Lélia Mordoch.

Olivier Waltman dans l’atelier de Xavier Escribà. Olivier Waltman, le marché de l’art en partage
Olivier Waltman dans l’atelier de Xavier Escribà.
Courtesy Galerie Olivier Waltman
Pouvez-vous nous présenter la ligne artistique de votre galerie  ? J’assume avoir fait un choix un peu particulier lorsque j’ai ouvert la galerie, il y a douze ans, qui pourrait relever d’une erreur de marketing en ne définissant pas une ligne directrice affirmée, en laissant le temps de mettre en place des affinités fortes entre artistes au fil des confrontations et des combinaisons. Ceux que nous défendons, avec mon frère et associé Nicolas, sont tous contemporains et viennent d’horizons géographiques et artistiques différents. Certains s’expriment en photographie (Tali Amitai-Tabib, Jean-Pierre Attal, Rune Guneriussen, Aleix Plademunt, François Ronsiaux), en peinture (François Bard, Jérôme Lagarrigue, François Borel, Jorge Enrique, Xavier Escribà, Cesar Santos), en design (Stéphane Ducatteau) ou en art électronique (Fabien Chalon, Alain Le  Boucher). Quelle est la fourchette de prix  ? Les œuvres les moins chères oscillent entre 1  500  et 4  000  €, pour ensuite monter entre 30  000  et 60  000  €. Avec Paris pour épicentre, vous rayonnez depuis 2010 à Miami et vous vous étiez installé à Londres en 2015. Vous venez de fermer cet espace. Pourquoi ? Nous avons choisi de mettre la galerie londonienne en sommeil pour des raisons…
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