Philippe Sprang s'est éteint le 3 octobre dernier à Paris des suites d’un cancer, à 63 ans. Il était un pionnier de la recherche sur la spoliation artistique perpétrée par le régime hitlérien.
«C’était un journaliste, mais, à sa manière, il était aussi un combattant», résume l’avocate Corinne Hershkovitch, à laquelle il avait confié ses archives.…
Cet article est réservé aux abonnés
Il vous reste 85% à lire.