Toujours à sa tête, Laure d’Hauteville et Joanna Chevalier ont sélectionné dix-huit galeries dont les libanaises Tanit et Saleh Barakat, deux pointures qui renforcent la dimension internationale de la Menart Fair, vitrine de la création moderne et contemporaine du Moyen-Orient et du Maghreb. Deux nouveaux axes cette année : la modernité avec un espace exclusivement dédié à l’école de Casablanca sous le regard de la commissaire Fadia Antar et les NFT, une section réalité virtuelle accompagnée d’une conférence réunissant des experts. Une nouvelle génération d’artistes prometteurs est défendue par les jeunes galeries By Lara Sedbon (Paris), Salahin (Paris) ou encore no/mad utopia (Beyrouth).