Pour sa première édition dans la capitale, la foire a attiré nombre de collectionneurs, et donné un coup de projecteur inédit sur les artistes du Maghreb et du Levant.
Dans un contexte international de crise sanitaire toujours incertain, indubitablement, les petites foires de niche s’en sortent mieux que les grosses machines. Après Asia Now en octobre 2020, et 1-54 dédié à la scène africaine contemporaine en janvier dernier, Paris vient d’accueillir fin mai la première édition de la Menart Fair. Vingt-deux galeries installées dans la capitale, ou souvent à l’étranger, ont investi les salons de la maison de ventes Cornette de Saint Cyr, avenue Hoche. Lancée par Laure d’Hauteville et Joanna Chevalier, les fondatrice et directrice artistique de Beirut Art Fair, au Liban, cette « boutique fair » se veut une alternative à la foire de Beyrouth, impossible à organiser jusqu’à nouvel ordre dans un environnement politique et économique chaotique, sans parler de la pandémie et des restrictions de déplacements encore en vigueur.…
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