Le musée des beaux-arts de Lyon met en scène des vanités produites entre la Renaissance et aujourd’hui. Une invitation à réfléchir sur la fugacité de la vie et l’urgence d’en savourer tous les plaisirs.
À la mort, à la vie !», clame le titre de l’exposition dans un jeu de mots facétieux détournant l’expression consacrée. Mais ce n’est là ni par coquetterie ni par provocation. «La mort n’est pas le sujet : celle-ci traite au contraire de la vie, précise Ludmila Virassamynaïken, sa commissaire, également responsable des peintures et des sculptures anciennes du musée des beaux-arts de Lyon. La mort n’est pas non plus l’objet des artistes. Pas de morbide dans leurs œuvres mais de la beauté, de l’esthétique, avec souvent de l’humour…
com.dsi.gazette.Article : 31222
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