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Maîtres de Vregille et Cortot

Publié le , par Sylvain Alliod

Associés à Dijon depuis janvier 2011, Emmanuel de Vregille et Hugues Cortot surfent sur Internet pour dynamiser leur activité et participent aux ventes collégiales thématiques de Drouot.

Emmanuel de Vregille, devant son portrait exécuté par Yan Pei-Ming (né en 1960) et... Maîtres de Vregille et Cortot
Emmanuel de Vregille, devant son portrait exécuté par Yan Pei-Ming (né en 1960) et Hugues Cortot.
La cité des ducs de Bourgogne a toujours aimé flirter avec les arts. Une tradition encore vivace au XXI e  siècle, notamment entretenue dans sa version contemporaine par Le Consortium, un centre d’art mondialement reconnu. La scène des enchères n’est pas en reste, grâce à trois dynamiques maisons de ventes. Emmanuel de Vregille et Hugues Cortot en organisent une centaine par an, volontaires et judiciaires confondues, et ont adjugé en 2015 plus de six mille lots. Comment se répartissent vos ventes cataloguées ? Emmanuel de Vregille : Nous en organisons chaque trimestre une à deux classiques, proposant tableaux, objets d’art et meubles et, à côté, des dispersions thématiques autour du vin, des jouets ou encore de tout ce qui touche au militaria. Hugues Cortot : Nous cherchons vraiment à développer ces ventes spécialisées, car c’est un marché intéressant. Elles concernent des gens de passion, ce qui provoque des échanges très enrichissants pour nous. Est ce qu’Internet a beaucoup modifié votre activité ? E. V. : De manière conséquente, car nous vendons aujourd’hui beaucoup en «live». Avant, on attendait que les gens viennent. C’est fini ! Il faut être performant, et nous devons motiver notre personnel pour que les choses soient faites en temps et en heure : demandes d’images,…
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