Trois ans après la parution de leur ouvrage monumental sur le peintre publié par Arthena, Étienne Bréton et Pascal Zuber exposent le Boilly qui suscite le plus leur étonnement… et le nôtre !
S’ils évoquent presque tous les pans de la carrière de l’artiste, sans pour autant suivre un fil chronologique, les deux commissaires font la part belle aux autoportraits de Louis-Léopold Boilly – section que domine Après le souper , œuvre «nouvelle» où il se dévoile dans son intérieur –, à sa passion pour l’optique, à l’humour avec lequel il détourne les conventions de son art et, c’est le cœur du sujet, à ses scènes de rues parisiennes. Plus de cent vingt œuvres, provenant des musées français, de la Ramsbury Manor Foundation – qui avait présenté ses…
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