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Les tapages de Boilly en détails au musée Cognacq-Jay

Publié le , par Carole Blumenfeld

Trois ans après la parution de leur ouvrage monumental sur le peintre publié par Arthena, Étienne Bréton et Pascal Zuber exposent le Boilly qui suscite le plus leur étonnement… et le nôtre ! 

Louis-Léopold Boilly (1761-1845), Jean qui rit, vers 1808-1810, huile sur toile,... Les tapages de Boilly en détails au musée Cognacq-Jay
Louis-Léopold Boilly (1761-1845), Jean qui rit, vers 1808-1810, huile sur toile, 21,5 17 cm, collection particulière.
© Guillaume Benoît
S’ils évoquent presque tous les pans de la carrière de l’artiste, sans pour autant suivre un fil chronologique, les deux commissaires font la part belle aux autoportraits de Louis-Léopold Boilly – section que domine Après le souper , œuvre «nouvelle» où il se dévoile dans son intérieur –, à sa passion pour l’optique, à l’humour avec lequel il détourne les conventions de son art et, c’est le cœur du sujet, à ses scènes de rues parisiennes. Plus de cent vingt œuvres, provenant des musées français, de la Ramsbury Manor Foundation – qui avait présenté ses…
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