Simon de Pury plaide sa cause devant un tribunal de Londres. Rapporté par The Telegraph, le contentieux a l’avantage de mettre en valeur la part factice du commerce de l’art aujourd’hui. Il porte sur le rôle du commissaire-priseur et collectionneur dans la vente d’un Gauguin à l’émir du Qatar par la famille bâloise Staechelin....
Simon de Pury plaide sa cause devant un tribunal de Londres. Rapporté par The Telegraph , le contentieux a l’avantage de mettre en valeur la part factice du commerce de l’art aujourd’hui. Il porte sur le rôle du commissaire-priseur et collectionneur dans la vente d’un Gauguin à l’émir du Qatar par la famille bâloise Staechelin. Il y a deux ans, le New York Times avait avancé le prix fabuleux de 300 M$. Le Kunstmuseum de Bâle, où la peinture était accrochée avec d’autres de la collection depuis 1947, ne put qu’exprimer «ses regrets». Nafea…
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