Gazette Drouot logo print

Les faïences révolutionnaires à Rouen

Publié le , par Sophie Humann
Acquis en 1936 par la ville de Rouen pour abriter sa riche collection de céramiques, à l’étroit au musée des beaux-arts voisin, l’élégant hôtel d’Hocqueville, ouvert au public depuis 1984, peu valorisé par les élus, est méconnu des Rouennais eux-mêmes. Aussi faut-il saluer l’initiative de Marie-Lise Lahaye, conservatrice...
Alexis Roucelle, grenadier de la Garde nationale, attribuée au Bois d’Épense, 1792,... Les faïences révolutionnaires à Rouen
Alexis Roucelle, grenadier de la Garde nationale, attribuée au Bois d’Épense, 1792, faïence de grand feu à décor polychrome.
© Réunion des musées métropolitains Rouen Normandie/Agence la Belle Vie
Acquis en 1936 par la ville de Rouen pour abriter sa riche collection de céramiques, à l’étroit au musée des beaux-arts voisin, l’élégant hôtel d’Hocqueville, ouvert au public depuis 1984, peu valorisé par les élus, est méconnu des Rouennais eux-mêmes. Aussi faut-il saluer l’initiative de Marie-Lise Lahaye,…
Cet article est réservé aux abonnés
Il vous reste 85% à lire.
Pour découvrir la suite, Abonnez-vous
Gazette Drouot logo
Déja abonné ?
Identifiez-vous