Le ciel bas du plat pays s’est perdu quai Anatole-France. Sur des murs café crème infusés de lueurs sourdes, coulent les encres de Léon Spilliaert, flamand jusqu’à l’os. Il était temps : depuis 1981 et la rétrospective que lui consacrait le Grand Palais à l’occasion du centenaire de sa naissance, la France l’avait un peu...
Le ciel bas du plat pays s’est perdu quai Anatole-France. Sur des murs café crème infusés de lueurs sourdes, coulent les encres de Léon Spilliaert, flamand jusqu’à l’os. Il était temps : depuis 1981 et la rétrospective que lui consacrait le Grand Palais à l’occasion du centenaire de sa naissance, la France l’avait un peu négligé. L’erreur est ici réparée …
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