Organisée par le quai d’Orsay le 1er février, une rencontre européenne au Louvre a voulu lancer une passerelle entre la Commission européenne et les acteurs du marché de l’art.
Accédant à la présidence tournante du Conseil européen, la France a voulu donner une impulsion culturelle à son action en organisant une conférence contre le trafic des antiquités et œuvres d’art sur le continent. Jean-Luc Martinez , en un temps record, a mis sur pied cette table ronde qui s’est tenue le 1 er février en visioconférence au Louvre. Nommé en juillet ambassadeur pour la coopération culturelle internationale, l’ancien président du Louvre a tenu à mettre en place à cette occasion une rencontre entre la Commission européenne et les praticiens du marché de l’art. Si ces derniers se sont félicités du principe même de cette confrontation, tant ils ont l’impression d’avoir prêché dans le désert ces dernières années, l’opposition était palpable entre les deux parties. D’emblée, Elena Maidou, qui suit les accords…
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