Un «tissu juridique mité». C’est ainsi qu’a été qualifée la législation française à l’encontre du faux en art, lors d’un colloque qui s’est tenu le 17 novembre au Palais de justice. Cette initiative de la Cour de cassation témoigne en elle-même de la prise de conscience, hélas graduelle, de la gravité d’un fléau, décrit...
Un «tissu juridique mité». C’est ainsi qu’a été qualifée la législation française à l’encontre du faux en art, lors d’un colloque qui s’est tenu le 17 novembre au Palais de justice. Cette initiative de la Cour de cassation témoigne en elle-même de la prise de conscience, hélas graduelle, de la gravité d’un fléau, décrit comme «ravageur» par Sébastien Allard, chef du département des peintures au Louvre, pour le marché de l’art comme pour les institutions publiques qu’il représente. L’impressionnant décor de la haute cour ne voit…
com.dsi.gazette.Article : 7436
Cet article est réservé aux abonnés
Il vous reste 85% à lire.