Le cercle de Camille Pissarro, de Cézanne à Seurat
Publié le
,
par
Claire Papon et Anne Foster
Vente le
01 avril 2019 - 16:30 (CEST) -
Salle 6 - Hôtel Drouot - 75009
Dans une lettre à son fils Lucien, en janvier 1886, Pissarro confesse : «Je ne suis heureux que lorsque je suis à Éragny auprès de vous tous, tranquille et rêvant de l’œuvre ; parbleu ce serait trop beau !» Cette figure tutélaire du groupe impressionniste, l’un des premiers participants et le plus âgé de ses membres, est...
Camille Pissarro (1830-1903), Le Grand Noyer à Éragny, Automne, huile sur toile, annotée «Printemps, Éragny (Esquisse), 213» au dos sur le châssis, 38,3 x 46 cm. Estimation : 300 000/500 000 €
Camille Pissarro (1830-1903), Le Grand Noyer à Éragny, Automne, huile sur toile, annotée «Printemps, Éragny (Esquisse), 213» au dos sur le châssis, 38,3 x 46 cm. Estimation : 300 000/500 000 €
Dans une lettre à son fils Lucien, en janvier 1886, Pissarro confesse : «Je ne suis heureux que lorsque je suis à Éragny auprès de vous tous, tranquille et rêvant de l’œuvre ; parbleu ce serait trop beau !» Cette figure tutélaire du groupe impressionniste, l’un des premiers participants et le plus âgé de ses membres, est aussi très présente dans les collections Aristophil (voir Événement Gazette n° 11, page 14). Camille Pissarro était sans doute celui qui avait l’esprit le plus ouvert, curieux des nouveautés, comme le pointillisme de Seurat dont il adopta les principes. Le village d’Éragny, près de Gisors, accueille l’artiste…
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