Dans un marché soumis à quasiment aucune régulation, qui peut dire aujourd’hui la valeur du Salvator Mundi ou la cote d’un Basquiat ?
Q uand un proche d’un dirigeant malaisien accusé de détournements de fonds colossaux obtient un prêt de 100 M$ de la part de Sotheby’s, avant de faire bondir à près de 50 M$ le record atteint par Basquiat , que vaut, en fait, le tableau en question ? L’acheteur l’a-t-il seulement regardé ? Ou a-t-il juste servi de valeur commode pour un échange louche ? Une première réponse peut être fournie par le prix obtenu quand il a été recédé avec une perte de 15 M$ de même qu’un Picasso acquis par le même homme d’affaires a subi à la revente une décote de 30 %. Comment apprécier alors la cote…
com.dsi.gazette.Article : 8272
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