Publié le
,
par
Xavier Narbaïts et Agathe Albi-Gervy
À Philadelphie, la France était à l’honneur pour la dernière vente de design de l’année orchestrée par la maison Freeman’s, le 10 décembre. Une collection privée de San Francisco, portant sur des pièces d’argenterie de Jean Puiforcat (1897-1945), a trouvé un écho favorable auprès des amateurs américains, la totalité des lots ayant été vendus. Cette soupière en argent et onix, des environs de 1942 à 1945, a pour sa part plus que doublé son estimation comprise entre 8 000 et 12 000 $, pour s’envoler à 28 750 $.
À Philadelphie, la France était à l’honneur pour la dernière vente de design de l’année orchestrée par la maison Freeman’s, le 10 décembre. Une collection privée de San Francisco, portant sur des pièces d’argenterie de Jean Puiforcat (1897-1945), a trouvé un écho favorable auprès des amateurs américains, la totalité des lots ayant été vendus. Cette soupière en argent et onix, des environs de 1942 à 1945, a pour sa part plus que doublé son estimation comprise entre 8 000 et 12 000 $, pour s’envoler à 28 750 $.
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