En compagnie du Louvre, la villa Médicis fait honneur aux moulages des statues antiques, qui ont servi à la diffusion de l’idéal gréco-romain.
Le Gaulois mourant, (dit aussi Gladiateur mourant ou Mirmillon), entre 1673 et 1684, plâtre, musée du Louvre, gypsothèque (Versailles, Petite Écurie du roi), et Le Fils aîné de Niobé, 1686-1687, de Giovanni Arnaldi (mouleur), Académie de France à Rome.
Le Gaulois mourant, (dit aussi Gladiateur mourant ou Mirmillon), entre 1673 et 1684, plâtre, musée du Louvre, gypsothèque (Versailles, Petite Écurie du roi), et Le Fils aîné de Niobé, 1686-1687, de Giovanni Arnaldi (mouleur), Académie de France à Rome.
Cette exposition est une belle étape dans la réhabilitation du plâtre, matériau maltraité dans l’histoire de la sculpture. Dans le cadre d’un partenariat lancé par Jean-Luc Martinez et Éric de Chassey, le Louvre et la villa Médicis ont monté cette exposition éclairante sur les moulages qui ont permis de propager en Europe l’image de la statuaire gréco-romaine. Bruno Racine fut le premier directeur de la Villa à s’inquiéter du sort problématique de ces reproductions. Un passage de l’exposition est consacré aux débris de statues cassées quand Balthus,…
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