Notamment grâce à un nouveau contingent d’enseignes françaises, la vénérable foire d’art et d’antiquités de Maastricht rafraîchit sa palette. Tour d’horizon de ce cru 2018.
Gaston Étienne Le Bourgeois,Lama, bronze monogrammé et signé 10 sur 20, fonte de Collin, modèle créé en 1919, l. 35, h. 20 cm.
Courtesy galerie Xavier Eeckhout
Gaston Étienne Le Bourgeois,Lama, bronze monogrammé et signé 10 sur 20, fonte de Collin, modèle créé en 1919, l. 35, h. 20 cm. Courtesy galerie Xavier Eeckhout
Qu’on se le dise, la Tefaf se tiendra encore pour un bon bout de temps à Maastricht. Alors que certains plaidaient pour un déménagement de la plus importante foire d’art et d’antiquités mondiale dans une capitale européenne, à Amsterdam ou ailleurs, ses organisateurs viennent de signer un nouveau contrat de dix ans avec la paisible cité néerlandaise, son centre des congrès (le MECC) et la province du Limbourg. À la clé : un lifting des lieux pour un total de trente millions d’euros, prévu sur plusieurs années, une montée en gamme de l’accueil hôtelier… «Nous avions une relation étroite avec Maastricht depuis trente ans. Une majorité d’exposants ont souhaité rester ici», confie Patrick Van Maris, président exécutif de la Tefaf. Ce nouvel accord envoie aussi un signal de stabilité à un marché de l’art en pleine évolution. Le lancement récent par la Tefaf de deux satellites…
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