L’ensemble de huit céramiques de Théodore Deck (1823-1891) proposé chez Delon - Hoebanx le 13 mars (PBG Expertise) révélait la richesse d’inspiration de ce créateur alsacien, bien au-delà de son fameux «bleu» ; il n’hésitait pas à faire appel à des artistes pour peindre des décors et à aller puiser du côté de la Renaissance et de l’Orient. On s’attardait sur ces deux plats peints de volatiles un faisan doré et un perroquet perchés sur des branches habillées de fruits juteux (diam. 49 et 50 cm). Réalisés vers 1880 et 1890, dans un style naturaliste et coloré, ils s’exposaient à 11 520 et 11 008 €.