Sarah Bernhardt (1844-1923), c’est la «Divine» selon Oscar Wilde, la «Voix d’or» aux oreilles de Victor Hugo – un enregistrement de Thomas Edison permet de découvrir les trémolos et déclamations de l’actrice –, un «Monstre sacré» aux yeux de Cocteau, et bien d’autres lauriers tressés jusqu’à sa mort à la diva du théâtre...
Sarah Bernhardt (1844-1923), c’est la «Divine» selon Oscar Wilde, la «Voix d’or» aux oreilles de Victor Hugo – un enregistrement de Thomas Edison permet de découvrir les trémolos et déclamations de l’actrice –, un «Monstre sacré» aux yeux de Cocteau , et bien d’autres lauriers tressés jusqu’à sa mort à la diva du théâtre…
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