Deux bustes du XVIIe siècle nous plongent au cœur du théâtre, mais aussi d’une science, la physiognomonie. Un jeu de dupes ?
François Fontelle (mort avant 1696), Couple de comédiens, paire de bustes en marbre blanc, l’un signé au dos "F. FONTELLE", h. 40 et 44 cm.
Adjugé 24 000 € frais compris
François Fontelle (mort avant 1696), Couple de comédiens, paire de bustes en marbre blanc, l’un signé au dos "F. FONTELLE", h. 40 et 44 cm.
Adjugé 24 000 € frais compris
Des petits yeux, un nez crochu, une petite bouche au sourire édenté et un menton fuyant, autant de caractéristiques physiques qui appellent à la méfiance. C’est en tout cas la théorie qui fait fureur aux XVIIe et XVIIIe siècles en France et dans toute l’Europe. Chaque homme porterait sur son visage les grandes lignes de sa personnalité. Chaque trait serait associé à un défaut ou une qualité. Déjà, les philosophes grecs de l’Antiquité, en tête desquels Aristote, font cet audacieux parallèle entre l’apparence et le caractère. Pythagore ne faisait-il…
automobiles,art nouveau, art déco,tapis, tapisseries,Extrême-Orient,poupées,sculptures, bronzes,objets d'art et d'ameublement,céramiques,verreries, vitraux,instruments de musique,collections spécialisées,cinéma (sur le thème du)
Nous utilisons des cookies pour vous offrir une meilleure expérience de navigation, réaliser des analyses de trafic du site et de vous proposer des contenus et des annonces les plus adaptés à vos centres d’intérêts.