En 2011, la Chine étonnait le monde en prenant la tête du marché de l’art. Parallèlement, la cote de ses antiquités et de sa (mauvaise) peinture contemporaine explosait aux États-Unis. Nous en serions bien revenus, à en croire une étude d’Artnet réalisée avec l’Association nationale des maisons de ventes. S’étant effondré...
En 2011, la Chine étonnait le monde en prenant la tête du marché de l’art. Parallèlement, la cote de ses antiquités et de sa (mauvaise) peinture contemporaine explosait aux États-Unis. Nous en serions bien revenus, à en croire une étude d’Artnet réalisée avec l’Association nationale des maisons de ventes. S’étant effondré de moitié en 2012, le commerce de l’art chinois serait en recul continu depuis quatre ans. La bulle spéculative autour d’une peinture fabriquée pour la circonstance a éclaté, sa valeur en ventes publiques…
com.dsi.gazette.Article : 6892
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