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par
Anne Doridou-Heim et Stéphanie Perris-Delmas
La célèbre manifestation parisienne nous offre cette année une programmation culturelle de renommée internationale. Ou le mariage heureux entre marché et institutions…
Manufacture de Sèvres, 1780. Vase «Militaire» en porcelaine dure, marques peintes en or, LL entrelacés sous une couronne, lettre date CC, h. 36,5 cm.
L’esprit Biennale, c’est depuis vingt-huit éditions une volonté sans faille de proposer le plus beau et le plus rare. L’invitation lancée au musée de l’Ermitage, au Mobilier national et à la Fondation de la haute horlogerie trois institutions qui ont l’excellence dans les gènes de présenter une sélection de leurs pièces emblématiques, s’inscrit dans cette lignée. Dans la longue histoire de la Biennale, il est question de faire date. Démonstration en trois temps. Invité d’honneur, l’Ermitage Des rives de la Néva aux bords de la Seine, les trésors de l’Ermitage seront abrités sous les verrières du Grand Palais, côtoyant pour l’occasion les appas des antiquaires. Une première pour un rendez-vous marchand de cette envergure, même si le dernier salon du dessin était parvenu, plus modestement il est vrai, à réunir quelques-unes des meilleures feuilles du musée des beaux-arts Pouchkine. «Pour réveiller cette belle endormie, il fallait taper fort», avoue Jean-Daniel…
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