Gazette Drouot logo print

La Biennale en «off»

Publié le , par Agathe Albi-Gervy

Hors du Grand Palais, que nous réserve Paris en septembre ? L’émulation autour de la Biennale ne vaudra pas celle d’antan, mais les collectionneurs auront de quoi être satisfaits, et parfois même surpris.

Cédric Porchez (né en 1962), Vanitas VII, 2014, photographie au collodion, 31 x 41... La Biennale en «off»
Cédric Porchez (né en 1962), Vanitas VII, 2014, photographie au collodion, 31 x 41 cm.
Crédit Cédric Porchez, courtesy Galerie Éric Coatalem
L’âge d’or de la Biennale s’est de longue date patiné, voilà un fait admis de tous. L’an dernier, on avait observé une nette diminution du nombre d’événements organisés en périphérie du prestigieux salon, et les alentours du Grand Palais semblaient se tenir à l’écart des festivités. Qu’en sera-t-il cette année ? En comptant sur le fait que l’annualisation de l’événement  initiée avec la précédente édition  devrait être désormais digérée et que la manifestation célèbre son trentième anniversaire, on est en droit d’attendre un sursaut d’enthousiasme et d’activité. La redynamisation de la Biennale passera inéluctablement par la mobilisation de l’ensemble de la scène parisienne. Et les initiatives proposées en ce mois de septembre méritent les encouragements. Les tableaux anciens dressent leur fresque Comme de coutume, des galeristes de toutes spécialités tentent de capter une partie du flux des collectionneurs venus du monde entier sous la verrière du Grand Palais. Qu’ils participent ou non à la Biennale, certains organisent des expositions temporaires au sein de leur galerie, souvent d’un niveau scientifique très élevé et accompagnées de publications. On ne le comptera pas cette année parmi les stands de la…
Cet article est réservé aux abonnés
Il vous reste 85% à lire.
Pour découvrir la suite, Abonnez-vous
Gazette Drouot logo
Déja abonné ?
Identifiez-vous