Douze spécialistes toutes disciplines confondues ne sont pas de trop pour tenter de décrypter l’œuvre foisonnant et sinueux du peintre espagnol. À la tête de ce cortège, le regretté Jean-Claude Carrière, en guide érudit et conteur passionné d’un captivant documentaire.
Q uand la formule fonctionne, autant la répéter. Dans Le Mystère Jérôme Bosch , sorti en 2016, José Luis López-Linares invitait un romancier, une danseuse, un compositeur, une neuroscientifique, une historienne, un plasticien et d’autres grands noms dans leur discipline à commenter Le Jardin des délices . La somme de ces discours composait alors le portrait diffracté du triptyque, la passionnante exploration d’une œuvre qui recèle encore de nombreux secrets. S’attaquant cette fois-ci à Goya (1746-1828), le documentariste espagnol s’entoure d’une nouvelle équipe de choc : le réalisateur multiprimé Carlos Saura, l’astrophysicien Michel Cassé, le peintre et cinéaste Julian Schnabel, le peintre et sculpteur Guillermo Pérez…
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