Magnifiant les jeunes éphèbes grecs aussi beaux qu’intelligents, un vase parmi les plus mythiques de René Lalique devrait agiter le monde de la verrerie...
René Lalique (1860-1945), vase Palestre, épreuve en verre blanc satiné, patiné sépia, soufflé moulé, modèle créé en 1928, h. 40,5 cm. Samedi 4 juillet 2015, Villefranche, Guillaumot-Richard SVV. Estimation : 50 000/60 000 euros
René Lalique (1860-1945), vase Palestre, épreuve en verre blanc satiné, patiné sépia, soufflé moulé, modèle créé en 1928, h. 40,5 cm. Samedi 4 juillet 2015, Villefranche, Guillaumot-Richard SVV. Estimation : 50 000/60 000 euros
Dans la Grèce antique, le culte du corps n’était jamais dissocié de celui de l’esprit. Ce concept s’illustrait par une expression déjà en vigueur à l’époque d’Hérodote, Kalos kai Agathos, littéralement «Beau et Bon». Ainsi, l’Antiquité ne négligeait aucun aspect de l’intellect et du physique dans l’éducation des jeunes gens : il fallait savoir pratiquer tous les sports et en même temps être expert en mathématique et en philosophie ! Dans cette difficile quête de perfection, les garçons…
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