Par un extraordinaire retournement de situation, le marché de l’art, le monde des musées et même celui de l’archéologie se retrouvent au banc des accusés dans le scandale du trafic des antiquités égyptiennes. Le juge Jean-Michel Gentil se doutait-il de la déflagration qu’il a amorcée ? En plaçant en garde à vue le rédacteur...
Par un extraordinaire retournement de situation, le marché de l’art, le monde des musées et même celui de l’archéologie se retrouvent au banc des accusés dans le scandale du trafic des antiquités égyptiennes. Le juge Jean-Michel Gentil se doutait-il de la déflagration qu’il a amorcée ? En plaçant en garde à vue le rédacteur en chef de la revue de la Société française d’égyptologie et le directeur du département égyptien du Louvre, ressortis libres sans que rien ne leur soit reproché, magistrats et enquêteurs ont frappé au cœur de cette recherche dont la France a fait sa gloire depuis l’épopée napoléonienne.…
com.dsi.gazette.Article : 36051
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