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Harold T’Kint de Roodenbeke, l’engagement Brafa

Publié le , par Anne Doridou-Heim

Il cultive jalousement l’esprit de la manifestation bruxelloise. Et il le peut, tant la réussite de la foire considérée à l’origine comme un outsider est unanimement respectée. Les clés du succès en quelques réponses.

Harold T’Kint de Roodenbeke devant une œuvre de Todd & Fitch.  Harold T’Kint de Roodenbeke, l’engagement Brafa
Harold T’Kint de Roodenbeke devant une œuvre de Todd & Fitch.
© Speltdoorn Studio
Très largement réélu en juin dernier, Harold T’Kint de Roodenbeke entame son troisième mandat à la présidence de la Brafa avec une détermination et un engagement intacts ; une joie aussi, exprimée en toute simplicité, de gérer cette foire unique en Europe par son esprit. Avec l’ensemble des organisateurs, il aime décliner à l’envi une devise de trois mots : qualité, éclectisme, convivialité. Cette édition est, déjà, la 64 e . Mais à la différence du Beatles Paul McCartney mis en avant dans le dossier de presse, qui s’inquiétait de ce nombre fatidique dans le célèbre titre When I’m Sixty-Four , les années glissent sur la Brafa sans laisser de trace. Aucun signe d’essoufflement, tout au contraire ; à découvrir le nombre de galeries en liste d’attente, on comprend qu’elle se montre toujours aussi désirable. Un certain esprit anglais règne d’ailleurs sur cette édition, et ce n’est pas tout à fait un hasard. Explications. Vous voici de nouveau aux commandes de la Brafa et avec le même entourage. On ne change pas une équipe qui gagne… En effet, c’est à nouveau la même équipe qui est à la tête de la Brafa, avec Francis Maere et Didier Claes pour vice-présidents. Nous…
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