La rétrospective de Bâle rééquilibre la vision d’un artiste qui doit plus au XVIIIe siècle que ne laisse entendre le sombre héritage cultivé par le romantisme.
Francisco de Goya (1746-1828), Le Sabbat des sorcières (El Aquelarre),1797-1798, huile sur toile, 43 x 30 cm (détail), Museo Lázaro Galdiano, Madrid.
Francisco de Goya (1746-1828), Le Sabbat des sorcières (El Aquelarre),1797-1798, huile sur toile, 43 x 30 cm (détail), Museo Lázaro Galdiano, Madrid.
La fondation Beyeler réussit un coup de maître en réunissant 75 peintures et une centaine de dessins et d’estampes de Goya, de ses premières saynètes rococos aux impressions de tauromachie bordelaises. Reportée l’an dernier, cette rétrospective est l’une des plus importantes hors d’Espagne. Le Prado apporte un tiers des œuvres, dont La Maja habillée et Les Majas au balcon – qui inspirèrent Manet – proviennent d’une collection particulière. L’académie de San Fernando a prêté quatre tableaux. La fondation a obtenu…
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