La rétrospective Georgia O’Keeffe (1887-1986) n’est pas une exposition comme les autres : d’abord parce qu’hormis le musée de Grenoble, qui relevait en 2015 les analogies entre son œuvre et la photographie, aucune institution de l’Hexagone n’avait jugé bon de s’étendre sur le sujet. Ensuite parce que cette exposition ne se visite pas, mais s’éprouve. Dans l’espace ouvert où des murs gris perle miment le plan en damier de Manhattan, tous les sens sont en éveil, bien qu’on ne puisse rien toucher, rien sentir. Il y a en revanche beaucoup…
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