Après sa quatrième édition réussie de ce printemps, le salon GemGeneve des pierres précieuses et de la haute joaillerie revient cet automne, plébiscité par ses exposants.
Pour Marivaux, bien écouter, c’est presque répondre. Ce « presque », les organisateurs de GemGenève ne l’ont pas fait durer longtemps. Mi-août, la nouvelle est tombée : le salon passe d’un format annuel à semestriel. « Une décision logique puisque, dès le départ, nous avons eu comme objectif de répondre aux besoins de nos collègues », souligne Thomas Faerber. Avec son acolyte Ronny Totah, également marchand de pierres précieuses, depuis le lancement de leur foire en 2018, ils n’ont jamais dérogé à cette règle d’or. Pourtant, vu de l’extérieur, plusieurs facteurs contextuels ne laissaient pas vraiment présager une telle demande de la profession. À commencer par la guerre en Ukraine et l’instabilité géopolitique, mais également économique, qu’elle a créée. Sans oublier le retour du fameux coronavirus en Chine. Ce dernier a d’ailleurs joué un rôle non négligeable dans le souhait des exposants et des acheteurs de revenir à Genève cet automne, plutôt que de s’aventurer en Asie pour promouvoir leurs stocks. Entre raison et sentiments Quel impact a eu cette année si chahutée sur les affaires ? Selon Ronny Totah, si dans son ensemble…
Nous utilisons des cookies pour vous offrir une meilleure expérience de navigation, réaliser des analyses de trafic du site et de vous proposer des contenus et des annonces les plus adaptés à vos centres d’intérêts.