Comme nombre de commerces dits « non essentiels », les galeries parisiennes plaident pour un assouplissement des mesures sanitaires visant leur activité. Pour l’heure, seuls les retraits d’œuvres sont autorisés – et les livraisons à domicile.
Une marge de manœuvre trop étroite selon certains, que les expositions et ventes en ligne ne permettent pas de pallier. Leur demande : pouvoir recevoir les visiteurs sur rendez-vous. Un privilège dont leurs homologues londoniennes ont, elles, la…
com.dsi.gazette.Article : 18508
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