Ils ne furent ni condisciples ni amis, encore moins maître et élève. Aucun document n’atteste non plus leur rencontre avec certitude. Pourtant, leurs toiles parlent d’elles-mêmes. Suivant les traces de Claude Monet, Jean-Francis Auburtin (1866-1930), de vingt-cinq ans son cadet, est allé planter son chevalet à Belle-Ile,...
Jean-Francis Auburtin(1866-1930), L’Aiguille d’Étretat, ciel rouge, vers 1898-1900, gouache sur papier (détail).
Ils ne furent ni condisciples ni amis, encore moins maître et élève. Aucun document n’atteste non plus leur rencontre avec certitude. Pourtant, leurs toiles parlent d’elles-mêmes. Suivant les traces de Claude Monet, Jean-Francis Auburtin (1866-1930), de vingt-cinq ans son cadet, est allé planter son chevalet à Belle-Ile, Étretat, Pourville, Saint-Jean-Cap-Ferrat… comme l’avait fait le maître impressionniste quelques années auparavant. Proposer un simple face-à-face entre eux, confronter les virtuoses fulgurances atmosphériques de l’un…
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